Valentin CHAVIGNY, photographe

Portrait de Valentin CHAVIGNY
30 août 2024 | L'équipe

Si vous suivez notre actualité, vous connaissez sûrement déjà Valentin ! Voilà plus d’un an qu’il a rejoint notre équipe de photographes et qu’il met son savoir-faire au service de l’entreprise.

Ton parcours en quelques mots ?

Initialement, je voulais faire une école de cinéma car le métier de cadreur me fascinait.

Je me suis finalement dirigé vers des études en gestion d’entreprise option finance et marketing (DUT GEA), plus abordables financièrement. J’ai ensuite fait un BTS photo au CE3P – Ecole de photographie et des Techniques de l’image.

Ma vie professionnelle a commencé dans une entreprise spécialisée dans la photographie scolaire. J’étais retoucheur photo, je faisais tout de la post prod jusqu’au tirage. Après ça, j’ai travaillé chez Négatif + en tant que conseiller ventes durant 2 ans et demi.

Et puis, à l’occasion des portes ouvertes de mon ancienne école de photo, j’ai croisé Guillaume qui m’a parlé de TRIBVN Imaging. J’ai envoyé un mail à Alice et j’ai rapidement été engagé.

Comment ta passion pour la photographie est-elle née ?

En achetant mon premier appareil photo.

J’avais acheté un NIKON numérique pour un voyage en Irlande, et quelques mois après mon inscription à l’école de photo, j’ai acheté un YASHICA argentique.

Les archives les plus incroyables que tu aies eu à numériser ?

Ce sont sans hésiter les plaques de verre du musée de Bretagne. Je pouvais numériser par exemple des portraits datant d’il y a un siècle ou encore de très vieux avions. Avoir entre les mains ces plaques de verre c’est un sentiment incroyable, on sait que ce sont des supports originaux chargés d’histoire, contrairement aux films qui peuvent parfois être des reproductions.

Le plus grand challenge que tu as pu relever chez TRIBVN Imaging ?

Mon plus grand challenge c’est clairement mon arrivée chez TRIBVN Imaging.

Je pense qu’il y a très peu d’entreprises qui fonctionnent comme TRIBVN Imaging, où l’on calibre sa chaîne de numérisation en fonction de chaque projet, chaque format, avec les différentes vues techniques. On travaille de façon très précise, on numérise suivant des process bien spécifiques et au début c’est forcément beaucoup d’informations.

Qu’est-ce que tu préfères dans ton métier ?

Préserver le patrimoine, et c’est cool de voir des photos un peu insolites.

As-tu des projets persos autour de la photo ?

Oui ! En ce moment, je réalise des photos de portrait en studio.